Devenir auteure était un rêve d’enfance. Mais il me semblait inaccessible. Issue d’un milieu modeste,  je n’avais aucune connexion avec le monde de l’édition. Et, j’avais besoin de gagner ma vie. J’ai donc sagement investi dans un diplôme bien valorisé sur le marché du travail. J’ai eu de très bons moments dans ma vie professionnelle, des responsabilités, pourtant dans un coin de ma tête trottait cette idée un peu folle, une idée de saltimbanque, se lancer dans l’écriture de romans, devenir auteure.  

Une restructuration de trop dans la banque où je travaillais m’a obligée à prendre du recul, à me réinventer. Et une idée s’est immédiatement imposée à moi. Puisque j’allais avoir enfin un peu de temps pourquoi ne pas me lancer dans l’écriture d’un roman ? C’est le point de départ de Ne jamais coucher avec son boss, une comédie romantique avec une héroïne, Virginia, qui ne se laissera pas marcher sur les pieds par son trop séduisant boss, Jérémie. Envoyée à quatre maison d’éditions, cette romance a trouvé rapidement preneur chez HarpersCollins dans les collections Harlequin et &H. Ce rêve d’enfance est devenu réalité puisque vous avez été près de 6000 à ce jour à acheter mon livre

Si j’adore la romance, mon univers est plus large. Il appartient au genre que les anglo-saxons appellent,  « women’s fiction », des romans qui mettent en scène des héroïnes fortes qui ont des épreuves à surmonter, des sagas avec des femmes au centre de l’intrigue qui abordent des thèmes aussi variés que la famille, la passion ou l’amitié. J’ajoute mon grain de sel en explorant le monde des affaires et de la finance, secteur que je connais bien, et qui sied aux femmes modernes. 
J’aime partager des émotions, parler des injustices qui me révoltent, et mettre en valeur des femmes qui vont s’affirmer. En bonne féministe, j’aime les femmes qui assument des responsabilités aussi bien familiales que professionnelles. Des femmes ordinaires, sensibles, qui vont devoir lutter.  

J’ai toujours aimé ces romans où les femmes sont au coeur des histoires. Scarlett O’hara, Jane Eyre, les Hauts de Hurlevent et Jane Austen sont mes références, mais aussi les merveilleuses histoires de JK Rowling, Katniss Everdeen, sans oublier de sympathiques héroïnes comme Bridget Jones ou l’accro du shopping de Sophie Kindella. 

Mon deuxième roman, L’aile froissée de la libellule,  appartient à ce genre. C’est un roman féminin avec une héroïne forte comme je les aime. 

J’espère que grâce à vous cette belle aventure de Cléo Ballatore écrivaine connaîtra plein de péripéties et de rebondissements, comme dans les romans.

Je vous dis à bientôt et je vous embrasse,

Cléo Ballatore